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La vie secrète, d'une femme fragile.

20 janvier 2014

Le rêve.

Si il y a bien un monde ou tout est permis, c'est le monde du rêve. Dans mes rêves, il se passe une multitude de chose !

Ma vie est compliqué, maman d'un petit garçon, salariée, propriétaire, loin de ma famille, je n'est que peut de temps pour moi au final, ma vie se résume à un jonglage permanent entre toute ces choses. Alors imaginez vous bien que la plongée me libère de beaucoup de choses !

Un des rares moments ou je peut penser à moi, c'est la nuit, alors il n'est pas rare de me voir me coucher vers 2-3 heures du matin, après m'être prise un bon bain plein de mousse, regarder un bon film, pris soin de moi... pour enfin m'affaler dans mon lit, fermer les yeux et rêver de lui.

Ce que j'aime dans les rêves, c'est le courage que l'on peut ce donner. Je fait des choses dans mes rêves que je n'oserai jamais faire en réalité. Pourtant tout parait si simple lorsque le film se déroule dans ma tête...

Mais ou s'arrete la limite entre le rêve et la réalité ?

Ne dis t-on pas fait de ta vie un rêve et de tes rêves une réalité ? ...

Encore une phrase toute faite pondu par un pseudo philosophes ? Ou quelqu'un qui a trouver la solution (et le courage) d'appliquer ses dires...

J'ai bien sûr (comme toutes les nuits depuis que je le connais) rêvée de lui. Dans mes rêves, il reste cet homme sur de lui mais néammoins fragile, seulement j'arrive à lui parler, et j'arrive a ce que je n'ose pas faire des que je l'est en face, sur un regard, je l'embrasse, passionnément, avec tout l'amour que je ressens pour lui.

C'est en me relisant que je ressens toute la faiblesse que je peut eprouver face à cet homme... et pourtant en sa présence je ne peut m'empecher de me sentir en sécurité, sa présence me rassure, il me protège mais de qui ?

de moi-même peut être...

 

All'

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18 janvier 2014

Amours & Sentiments.

Il est vraiment difficile de cacher, camoufler ses sentiments et plus particulièrement celui de l'amour.

D'apparence, je pourrais être forte, sur de moi et determinée dans tout ce que j'entreprend. Il est vrai qu'au fil des années, je me suis créée cette carapace, cette image de femme forte et prête à tout, dans des moments difficile de ma vie, j'ai eu besoin d'etre ce pilier pour ma famille, m'oubliant un peu parmis ce dédale de peine, de haine et de trahison.

J'ai toujours été comme ça, présente pour les gens que j'aime, à m'inquiété de leur bonheur, les faisant passer bien avant mes envies, bien avant mon bien être, même si au final cela m'a plus desservi qu'autre choses à de nombreuses reprises.

J'ai essayer de changer, et je me suis construite seule, le dicton disait vrai, on ne choisit pas sa famille, alors après tant de peine, tant de malheur, je me suis efforcé de créer mon univers. Après une histoire d'amour raté, je me suis jurée de ne plus retomber amoureuse de si tôt et pourtant ...

Quelle drole de sentiment l'amour, douloureux mais agréable à la fois, ennivrant et effrayant... une vrai avalanche de ressentiments.

J'ai essayer de me protéger de cette situation, d'autant plus qu'il est joueur et parfois blessant, mais c'est comme ci ma tête (ou mon coeur ?) ne voulais rien entendre. La raison voudrait que je le fuis, que je m'éloigne et prenne du recul sur cette situation ambigue et difficile, mais mon coeur lui, bien trop fragile malgré "la carapace" me pousse à la séduire, me pousse à l'aimer pour ce qu'il est.

J'ai des amies au courant de cette situation, et lorsqu'elle me dise que je devrait me proteger, je sais qu'elle ont raison mais... je n'y arrive absolument pas. Elles connaissent le personnage, admettent qu'il y a des choses particulières dans nos échanges mais ne peuvent s'empecher de penser qu'il joue beaucoup et que je risquerai d'y perdre quelques plumes... voir de ne pas me relever si cela venait a ne mener a rien.

Amoureuse, je suis simplement amoureuse. De ce personnage si particulier, si mystérieux, si maladroit, si sur de lui... Alors je le cotoie, deux fois par semaine, entouré de plein de monde. J'aimerai lui dire en face tout ce que je ressens pour lui, l'envie que j'ai de l'embrasser a chaque fois que je le vois, de me blottir dans ses bras pour tout oublier, mais je dois taire ses sentiments et ses envies, pour ne pas reveler au autres la faiblesse de mon coeur face a lui...

Alors pour ne pas sombrer dans un etat dépressif sans retour, je m'enferme dans mes rêves, ses yeux, sa bouche, son parfum, ses gestes, ses paroles, une musique, tout me ramène à lui. Tout ses petits moments que je me créer dans la journée, dans la nuit me permette de tenir le coup, en attendant peut être, que les choses avances,

En bien, je l'espère...

 

All'

 

 

 

12 janvier 2014

Lui.

Il es beau, enfin de mon point de vue bien sûr, la beauté étant propre à chacun. Intelligent, remplie d'humour et de charme, un peu mystérieux, parfois incompréhensible et pourtant... il m'attire.

Je ne saurais pas vraiment expliqué pourquoi il m'a plu, aux premiers abords, il a tout du type arrogant, imbus de sa personne et médisant face à l'humanité qui l'entoure. Bien qu'en réalité je ne pense pas qu'il soit comme il veut bien le montrer (mais qui montre sa réelle personnalité au monde ?). Je vois en lui un homme fragile, blessé peut être et pourtant qui croit encore aux belles choses de la vie. Peu démonstatrif, il se cache derrière cette image de macho arrogant (limite goujat comme dirait certaines !), innatentif sans l'être vraiment, il a tout de l'homme qui fait fuir mais...

Je n'est pas envie de le fuir.

Tout à commencer en septembre, j'ai décidé pour la première fois de prendre enfin du temps pour moi et de participer à des cours de plongée. J'ai choisi ce club un peu par hasard, dans l'espoir d'y passer du bon temps et me permettre de souffler un peu. Deux entrainement par semaine, suivi d'un petit "apéro" à chaque fois, je me suis de suite senti à l'aise. j'ai appris a faire connaissance avec des gens très sympa, dont lui, un de mes moniteurs.

Avec le travail, ma vie, et les débordements qu'elles subissait c'est dernier temps, je me suis permis d'oublier un peu et de profiter, après tant de temps ç'était une grande nouveauté pour moi ! On à beaucoup parlé, beaucoup rigolé, et nous nous sommes échangés nos numéros, au début "juste pour se tenir au courant avec les entrainements" mais...

je ne sais pas "Quand", je pense qu'il ma plu dès les premiers contacts, mais que je m'en suis apperçu plus tard, je ne pensait qu'a lui, je commencer à chercher la moindre attention de sa part, le moindre mot qui pourrais me montrer que l'attirance était réciproque... j'ai donc décidée de lui envoyer des messages, auquel il répondait. En cours l'ambiance avait changer, je chercher le moindre de ses regards, je m'arranger pour descendre au fond avec lui...

Mais que m'arrivais t-il ?

Moi qui m'étais promis de ne pas retomber amoureuse pour ne pas souffrir... trop tard, je SUIS amoureuse de lui !

Alors on me dit qu'il est "bizarre" que c'est un "goujat" car un coup il va repondre, un autre non, un coup il va faire attention a moi, un autre non ... mais je me dit :

Et si il avait les même peurs que moi, les mêmes blessures qui ne sont pas encore cicatrisé, les mêmes interrogations ?

il est au courant de ce que je ressens pour lui, au courant que je ne pense qu'a lui, et que je suis tomber amoureuse de lui, il ne m'a jamais répondu a ce sujet mais il continue a etre attentifs, a m'envoyer des messages de temps en temps, a me prouver qu'il n'est pas ce goujat que les gens prétende. Notre "histoire" est particulière, mais elle est comme ca, unique...

Peut-être qu'un jour il me répondra, peut-être même qu'il m'expliquera, en attendant je l'aime comme ca, attentifs mais distant a la fois, plein d'humour malgré son âme blessé, intelligent mais d'une extrème modestie...

et je me dis que rien que pour lui, ca vaut le coup d'étre retombé dans le piège amoureux.

 

All'

 

10 janvier 2014

Premier Jet.

J'étais une jeune fille plutôt "sauvage", j'avais des ami(es) bien sûr, encore une fois pour rentrer dans cette "normalité" mais je n'était jamais déranger de rester seule durant des jours sans adresser la parole a qui que ce soit. Mes journées était rythmée par ma scolarité, et une fois mon retour à la maison, ma "voie des arts" que je ne cesser de suivre.

Enfermée à longueur de soirée dans ma chambre, mon univers, mon refuge, c'est comme ça que je m'évadais. Après toutes ces années, je me rend compte que finalement, ça n'a pas changer, dans mon chez moi, ma chambre reste mon jardin secret, auquel je suis attaché et que je protège férocement.

Vint un moment ou je suis rentrée au lycée. Dans cette environnement ou si tu ne rentre pas dans le moule socio-culturelle tu te fait exclure de toutes activités pouvant t'aider à avancer dans la vie, cela fut mon cas. Rejeté, je n'adressais la parole à personne ou presque, mes repas et moments récréatifs je les passer à lire ou à écrire. j'ai sombrer dans un état dépréssif...

Mon caractère donnant cette impression d'indépendance, de force, personne ne s'imagine(és) que je puisse être mal et pourtant... j'ai fait une des plus grosses bétises de toute ma vie.

Je ne bois pas, et ne fume pas non plus, mais j'avais envie d'oublier. Oublier la façon dont le monde me traiter, dont la vie me bousculer, je voulais "plâner" pour me sentir bien, j'ai réfléchie, (certainement pas assez puisque j'ai fait ce geste stupide) et j'ai pris des médicaments, beaucoup trop de médicaments... Le lycée a prévenu les services de secours, je suis partie aux urgences ou l'on m'a fait un lavage d'estomac et c'est là que j'ai compris, en voyant ma maman en pleure que j'avais fait une des plus grosse bêtises de ma vie !

Pour préserver la famille et cette image de "petite fille chérie parfaite", "l'accident" à été passé sous silence.

Après ça, il y a eu une période de répit, j'ai arreter mon année de première au lycée en attendant de repartir sur une réorientation l'année suivante (en dehors du fait que j'étais rejeté par les autres, je m'ennuyais beaucoup en cours) et j'ai donc pu me consacrer à mes passions, le cheval et "ma voie des arts" . J'ai rencontrer des gens à l'extérieur, qui m'ont réappris à avoir une vie sociale, j'ai recommencer à sortir un peu, à vivre une ou deux histoires d'amour puis la rentrée et arrivée et je suis rentrée en internat.

Moi qui aimer tant avoir un espace vitale rien qu'a moi pour me permettre l'évasion, je me retrouvée en chambrée de 3 filles avec qui j'allais devoir partager non seulement mon quotidien mais aussi mes nuits ! Ca avais l'air de commencer mal et pourtant... je pense que ca restera "mes plus belles années" comme on dit lorsque l'on vieilli !

J'ai rencontré la bas des gens formidable, le cursus "Agricole" étant bien différent du lycée catholique et privée qui m'avait détruite aupparavent. Mais comme tout ne peut jamais aller toujours bien, côté famille, l'ambiance ce dégradait...

 

All'

9 janvier 2014

Un début à tout.

J'imagine qu'il y a un commencement à toutes actions que l'on souhaite mettre en place, voici le mien.

 

Je suis de ce genre de femme qui ne trouve d'échappatoire que lorsqu'elle empreinte la voie "des arts". La lecture, le chant, la musique, le cinéma, le dessin et bien sûr l'écriture sont mon exil, mon refuge. Catégorisée de "normal" , je me fond dans cette "normalité" des genres, mais au fond... le suis-je réellement ?

(Qu'est-ce que la "normalité" d'ailleurs ?)

 

Je pars sur cette page sans trop savoir ou je vais, ni ce que je compte livrer de ma vie ou moi-même. Bien sûr, ma vie est tout ce qu'il y a de plus banal, de belles choses, d'autres un peu moins belles, et malgré tout ce que celle-ci a pu me faire vivre, je ne pense pas être à plaindre.

Peut-être intéréssera t-elle du monde, peut-être pas. Peut-être rassurera t-elle des femmes sur leur vie, peut-être pas, ce qui est sûr c'est que tout ce que je pourrais livrer sur cette page est réelle, avec mes émotions et mes pensées t-elle que je pourrais les ressentir face au situations que la vie met sur ma route.

Alors qu'ils en soit ainsi,

 

Je vous souhaite une agréable lecture,

All'.

 

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La vie secrète, d'une femme fragile.
  • Il n'existe rien de plus difficile que de s'exposer au regard des autres. La critique reste un art difficile qui semble être à la portée de tous, mais il n'en est rien. Merci de respecter ma vie, mes sentiments et mes envies. Agréable lecture, All'
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